On passe la frontière 

Lundi 4 avril 2016

Chaves – Verín – 28,9 km 

   
  Sortie interminable de Chaves. Nous sommes enfin dans la campagne au bout de 8,2 km. Nous sommes sur un chemin de St-Jacques balisé, nous suivons donc les flèches. Je m’attendais à mieux. Il est vrai que nous sommes dans une grande ville et comme nous n’avons pas eu la zone industrielle à l’entrée nous l’avons à la sortie. 
 Il pleut. Ça fait des ronds dans l’eau !!! 

    
 Le repas d’aujourd’hui. Notre dernière bifana !!! Mangée dans le centre social, sportif et culturel de Vilarelho da Raia. Ce n’est pas la première fois que nous trouvons un bar dans un centre sportif ou autre.  

    
 Et voilà la frontière, une pierre avec un P d’un côté et de l’autre un E.  

 Il pleut, il pleut, il pleut, les vers se promènent sur la route.  

 Ceci est un exercice que je fais très souvent dans la journée et qu’Yves tient à ce que je le fasse figurer dans le blog. Je passe mon temps à vider les petits cailloux qui rentrent dans mes chaussures !!! Comment font-ils pour être si nombreux ??? Mystère !!! 

   Là aussi un grand mystère pour moi. Comment font-ils pour me donner au mètre près la distance qui me reste pour arriver à Santiago ??? 
   Un cimetière. Il y a rarement des tombes comme chez nous.  
 La pluie s’est enfin arrêtée.  

 Verín et au fond … de la neige.  

 Yves fait des bulles !!! Dès que nous nous rapprochons de notre destination, Yves vide ses gourdes pour s’alléger. J’ai essayé de prendre l’eau qui vole, ce n’est pas comme dans la réalité.  

 Un poulailler. Je ne pense pas que chaque poule a un petit balcon avec un store !!!

 La rue par laquelle nous rentrons dans Verín est bordée de camélias. Dommage, beaucoup ont fini de fleurir.