Aller au contenu principal

Lundi 20 mars 2023

Aljezur – Arrifana – 19 km – 140 km

C’est le printemps… le printemps n’arrivera plus un 21 mars avant 2102….

Passons aux choses sérieuses, le parcours d’aujourd’hui. Nous avons vu l’océan au km 9.

Le T-shirt du randonneur le soir à l’arrivée.

Magnifique rince bouteille à côté de l’hôtel.

Il n’y a pas que chez nous que ça bouge.

L’église neuve.

L’église vieille.

La ville est séparée en deux parties par la rivière.

Ça monte depuis que nous sommes arrivés dans la vieille ville et ce n’est toujours pas fini.

Des asphodèles, je ne pense pas qu’elles soient déjà fleuries chez nous.

Ça ne monte plus mais nous sommes sur une route interminable.

Orchidée.

D’anciens marais salants.

Nouvelles orchidées.

Urbanisation.

Enfin l’océan, nous avons déjà fait 9 km.

Il y en a un qui a pris la vague.

Il doit y avoir du poisson pour qu’il y ait autant de pêcheurs.

À nouveau un restaurant à mi chemin. Repos bien agréable, nous repartons rassasiés. Heureusement car ce soir il n’y a ni bar ni restaurant ouvert dans le coin. Nous grignotons nos provisions mais nous ne pouvons même pas boire un verre.

Nous avons rencontré des français aujourd’hui, ce qui est très rare. Ils arrivaient du chemin historique. La dame s’est plainte de devoir marcher dans le sable, elle a attrapé des ampoules… j’ai fini par m’y habituer

Nous dormons ce soir dans une auberge de jeunesse. En regardant nos photos de 2012 nous nous sommes rendus compte que nous y avions déjà dormi.

Il fait toujours aussi chaud, la crème solaire marche à plein régime…

Dimanche 19 mars 2023

Odeceixe – Aljezur – 23 km – 121 km

Aujourd’hui, nous n’avons pas marché longtemps au bord de l’eau, nous avons rejoint le chemin historique qui passe à l’intérieur des terres. Le tracé était commun aux deux chemins.

À la sortie d’Odeceixe.

Départ dans les champs.

On rejoint la route où nous sommes passés en vélo en novembre 2021.

La rivière Seixe.

Les pieds de vignes sortent du mur.

Une colonie de cigognes.

C’est étonnant qu’il y ait si peu de bancs sur le chemin.

Il avait 3 poissons dans son sac.

Mais comment peut-on arriver à attraper quelque chose en étant si haut sur la falaise.

Iphigénie me donne 43 m d’altitude !!!

Vignes fleuries.

Oups, ça va descendre et il faudra remonter !!!

Chouette, ça monte moins…

Jolis, ces arbres fleuris !!!

Mais ce sont des avocats.

On retrouve l’océan.

Dernière photo de l’océan pour aujourd’hui.

C’est jaune.

Non c’est vert.

Il fait chaud.

Agréable d’avoir un peu d’ombre.

Les pauvres, ils ont été mangés par les chenilles.

Au bord, tout le long du chemin.

C’est droit, droit, long, long… heureusement, nous venons de nous arrêter pour manger dans un restaurant. Ça fait trois jours qu’il y a des restaurants sur le chemin, nous y arrivons entre 13 h et 14 h, nous y mangeons et le soir nous grignotons. C’est mieux pour mon estomac lorsque je suis couchée.

Elle est amusante cette agave !!!

Alors là, ça descend, descend, descend, que je n’en vois pas la fin, moi qui ai peur de glisser et de repartir pour 2 ans sans randonner comme la dernière fois.

Aljezur.

Il est très bien là-haut, je n’irai pas le voir.

Et pour finir, la colombe de la paix.

Belle journée. C’est toujours difficile en montrant des photos, de partager le plaisir que nous avons en randonnant à cet endroit. Il faut le vivre pour le comprendre. Nous sommes loin de tout, séparés du monde. Un régal pour nous.

Samedi 18 mars 2023

Zambujeira do Mar – Odeceixe – 21 km – 98 km

Nous sommes partis de Sines et nous devons aller à Lagos, en bas en Algarve.

Zambujeira do Mar.

On commence par descendre vers la plage, ça veut dire qu’il faudra remonter. Le plus souvent sur un petit chemin étroit, caillouteux et escarpé… j’adore, évidemment je veux dire le contraire. Mais ce que je redoute le plus c’est lorsque nous avons ce petit chemin en descente.

Aujourd’hui après un kilomètre et demi de marche nous étions descendus et remontés trois fois, du coup ma vitesse d’escargot avait encore faibli.

Le paysage est toujours aussi beau.

On a vu plusieurs fois des champignons aujourd’hui, mais tous différents.

Là, c’est bien agréable de marcher.

C’est dans ces coins reculés qu’on rencontre souvent de vieux camping-cars.

Photographiés par une allemande. Nous rencontrons toujours les mêmes personnes depuis Porto Covo. Allemands, Anglais, Espagnols mais pas de Français.

Le bar était fermé.

Tu ne crois pas que…

tu vas prendre mes œufs…

Partout des griffes de sorcières comme végétation principale.

Nous sommes sortis du parcours parce que ça allait encore descendre pour remonter.

Champ de lupins cultivés.

Serres vides. Dans le coin, il y a énormément de serres, la dernière fois nous y avions vu des framboisiers.

Azenha do Mar. Le restaurant était plein, des groupes attendaient dehors… deux personnes c’est facile à caser, nous avons été pris de suite !!!

Et un peu de sable pour madame !!!

La fleur dominante d’aujourd’hui : la gueule de loup.

Yves a pris son premier selfie.

Et encore, et encore…

Demain nous allons passer de l’autre côté

Je pensais que nous allions longer la rivière jusqu’au pont et arriver à Odeceixe, mais non ça n’a fait que faire des détours.

Sur le site, nous devions faire 18,5 km, nous en avons fait 21.

Rio Seixe.

Et ce sera tout pour aujourd’hui. La journée a été plus fatigante qu’hier, je vais vite dormir.

Vendredi 17 mars 2023

Almograve – Zambujeira do Mar – 22 km – 77 km

L’océan est toujours là, majestueux, sonore, magnifique.

Aujourd’hui nous allons le voir presque tout le temps sur un chemin facile, presque plat et sans trop de sable.

On pouvait prendre un taxi et on aurait gagné 4 km.

Dur, dur de lever la jambe.

Les 4X4 doivent se régaler dans le sable.

Le sable change de couleur à tout moment.

Petit port.

Yves a découvert une option dans la modification des photos !!!

Pin maritime. Je n’ai pas l’impression que mes pins soient aussi beaux, avec d’aussi belles fleurs.

Je n’avais pas encore mis ce mimosa avec des fleurs bien plus grosses que chez nous.

Maintenant que nous avons découvert la loupe nous allons nous en servir. C’est le coin des cigognes. Elles tournent dans le ciel au dessus de nous.

Est-ce qu’il va falloir aller en bas ?

Ça commence à descendre !!!

Oui, j’ai descendu tous ces escaliers. ce n’est pas ce que je préfère pour ma cheville.

J’aurais volontiers mangé une langouste.

Porto das Barcas.

Après un bon repas (il n’y avait pas de langouste) dans un restaurant (on a oublié de le photographier) au Porto das Barcas, il ne nous reste que 4 kilomètres pour arriver à Zambujeira. Début, droit, droit, droit sur la route.

On retrouve l’océan.

Zambujeira.

Une source.

Zambujeira, Capela de Nossa Senhora do Mar.

Très, très beau parcours aujourd’hui, un régal pour les yeux et pas difficile pour les jambes.

Ce matin à mon réveil, j’ai appris une horrible nouvelle, une amie de la couture a perdu son fils de 14 ans dans un accident de mobylette au Cailar. Je suis dévastée. Je n’ose imaginer dans quel état elle doit être.

Jeudi 16 mars 2023

Vila Nova de Milfontes – Almograve – 16 km

Sines, notre point de départ, commence à s’éloigner. Petit trajet du jour.

Photo de la rue principale, pour que je m’en souvienne mais rien de bien original.

Grand détour pour aller jusqu’au pont qui nous permet de traverser le fleuve Mira.

C’est la troisième fois que nous passons sur ce pont. La première fois en 2012, dans l’autre sens, c’était la fin de la randonnée, je l’avais trouvé très long. La deuxième fois en vélo en 2021… facile !!! Et aujourd’hui… début de randonnée, tout va bien.

Vila Nova de l’autre côté du fleuve.

Maison abandonnée, elle devait être très belle.

Si nous avions pris le bateau pour traverser, nous aurions évité 4 km.

Aujourd’hui nous allons marcher longtemps loin de l’océan.

C’est très fleuri. Dommage, la couleur violette ne ressort pas.

Mon premier coquelicot.

Oui, l’océan est là.

Orchidée papillon. Magnifique, il y en avait quelques unes.

Fleur d’ail.

Je ne sais pas ce que c’est, on en voit depuis hier et la couleur est bien belle.

En passant loin de l’océan, c’était beaucoup plus fleuri qu’au bord de la falaise.

Et là, quel bonheur, un ciste à gomme, celui qui pègue quand passe au milieu. Souvenir d’un jour en 2012 sur la rota Vicentina où je n’avais pas voulu grimper sur la falaise et où j’avais préféré traverser un champ de cistes pour rejoindre le village dont j’ai oublié le nom. Mauvaise idée, nous sommes arrivés à destination pleins de griffures et de colle. La fleur est magnifique, pleine de fragilité.

Et une petite vue sur l’océan.

Silène ?

Astragale. Merci PlantNet, je ne savais pas le nom.

Deuxième fois que je vois des champignons.

Le chemin est taillé sous les arbres et de temps en temps il faut se baisser pour pouvoir passer.

Heureusement que je suis moins allergique qu’avant car nous passons souvent au milieu des arbres pleins de fleurs.

Et toujours du sable.

La même photo avec Yves, couleurs changées par lui.

Un tapis, je n’ose pas marcher.

Dépôt de ce que les gens ont trouvé sur la plage.

Centaurée, éclatante.

Le moment que j’adore en randonnée, voir le village d’arrivée, même aujourd’hui où le trajet n’était pas long et sans difficulté.

Ma première cigogne.

Mon premier serpent. Mort…

Sous la fenêtre de notre chambre. Ils sont bien silencieux.

Champ de lupins dans le village.

Un verre de vin blanc au Portugal, 3 verres en France !!!

Encore une belle journée, temps un peu couvert à la fin. La cheville va bien. La vie est belle.

Mercredi 15 mars 2023

Porto Covo – Vila Nova de Milfontes – 21 km

La rue principale de Porto Covo.

Au loin Porto Covo.

Ce n’est peut-être pas la peine que je dise qu’il fait très beau, les photos le prouvent.

La mer.

Aïe, je suis coincée, il y a des arbres qui traversent le chemin.

Encore la mer.

C’est l’empreinte d’un pied, en creux, on la croirait en relief.

Des cistes. Ils commencent à fleurir.

C’était rempli d’oiseaux, on doit à peine les apercevoir malgré mon gros plan. C’était super rigolo lorsqu’ils couraient au bord de l’eau.

Lupin.

Armeria.

Et toujours la mer.

Une autre variété de ciste.

Heureusement que j’ai pris mes bâtons. Aujourd’hui nous avons eu certaines descentes où ils m’ont bien aidée. Pas sur le chemin de cette photo…

Romulée.

Et toujours des petits panneaux pour nous indiquer le chemin.

Il y a du monde sur la plage. Aujourd’hui nous avons rencontré énormément de randonneurs avec des sacs à dos. On aperçoit sur le sommet de la falaise, à droite, un ponton en bois. Il devait faire au moins un kilomètre de long. Derrière il y avait un parking aménagé, ainsi les touristes pouvaient se promener sans abîmer les plantes.

Silène. Je vais arrêter là pour les fleurs. Il y en a énormément et j’ai encore beaucoup de photos à faire.

Ça semblait prêt à tomber car c’était détaché de la falaise.

Certainement pas car en dessous quelqu’un faisait de l’escalade.

On a beaucoup marché dans le sable. J’ai moins souffert qu’hier. Je commence à m’habituer.

Petit port en arrivant à Vila Nova des Milfontes.

Pas de photo de Vila Nova… peut-être demain !!!

Journée un peu trop chaude à mon goût mais j’ai bien résisté. La mer ou plutôt l’océan (je viens de voir que j’ai écrit mer dans tout le texte) grandiose, très varié, un régal.

Mardi 14 mars 2023

Lisbonne – Sines – Praia de São Torpes – Porto Covo – 18 km

Dur, dur lorsque le réveil sonne à 6 h !!!

Allô maman, comment vas-tu ?

Pas de petit déjeuner à l’hôtel, c’est trop tôt, nous allons jusqu’à la gare routière prendre un car (un car ou un bus ? Il faut demander la différence à Valentin… souvenir de nos trajets lorsqu’il était petit).

Donc nous allons prendre un bus à 7 h30 pour aller à Sines.

C’est comme chez nous ça bouchonne.

Le petit rond bleu en bas c’est notre position ce soir à Porto Covo.

Le bus vient de nous poser… début de la rando.

Je suis très déçue par le rendu de ma photo. C’était l’arbre du jour dans la cour du château de Sines, un magnifique arbre de Judée qui commençait à fleurir, deux troncs énormes… il n’a aucune couleur, il est triste, lamentable.

Vasco de Gama qui regarde l’océan. Il est né à Sines.

J’adore.

Là, c’est l’eau sainte qui sort en dessous…

Le château.

Passons au choses sérieuses. Nous commençons à marcher…

Nous allons faire la Rota Vicentina. Le chemin des pêcheurs.

https://rotavicentina.com/trilho-dos-pescadores/

Aujourd’hui notre trajet va de Sines à Porto Covo. La Rota Vicentina débute au petit poteau bleu à la plage de São Torpes. Pour y aller il n’y a pas de bus, peut-être des taxis… mais comme nous sommes des sportifs nous y allons à pied… 7 km de purgatoire au bord d’une route, il fait chaud, chaud, chaud, j’en ai un peu marre très très vite !!!

Heureusement, il y a des fleurs au bord de la route.

Étrange tous ces fruits. Ce serait un mimosa à longues feuilles.

Fleurs et usines, sympa !!!

Enfin un petit chemin loin de la route.

Et voilà la plage de São Torpes. Nous allons pouvoir boire, manger, nous reposer et nous tartiner de crème solaire avant de commencer la première étape de la Rota Vicentina.

Aïe, aïe, aïe la torture commence, on va marcher dans le sable presque tout le temps. Aline, faudrait savoir ce que tu veux, tu râlais en marchant au bord de la route et maintenant…

Tu râles en regardant un beau paysage.

Les deux traits sont les couleurs du chemin que nous devons suivre.

C’est moi, là-haut avec ma chemise à manches longues, non je n’ai pas froid, je ne supporte plus le soleil, il faut que je me couvre.

Yves a fait pareil, mais avec sa polaire, il va suffoquer !!!

On peut même faire du sport tout le long du chemin.

Porto Covo dans la nuit. J’étais un peu fatiguée en arrivant et j’ai oublié de faire des photos.

Belle journée, j’espère que je vais pouvoir arriver au bout et surtout que ma cheville tiendra… je n’ai pas marché cet hiver, je faisais pareil avant, mais c’était avant et j’ai pris quelques années depuis.

Lundi 13 mars 2023

La maison – Nîmes – aéroport de Marseille – Lisbonne.

Merci Tatie de nous avoir emmenés au Parnasse pour prendre notre bus blablacar.

Nous attendons tranquillement que le bus arrive. Blablacar Marseille Barcelone est passé. FlixBus Madrid Lyon vient de partir… ça ne saurait tarder pour nous.

Il arrive avec un peu de retard mais vu que nous arriverons 5h avant notre avion… ce n’est pas un problème !!!

Il faisait Montpellier Bergame… je serais restée volontiers à l’intérieur pour aller en Italie. Aline ! Tu ne peux pas être partout à la fois, il faut être raisonnable !!!

Petit robot qui amène les plats dans le restaurant de l’aéroport. C’est le serveur qui les pose sur la table. L’être humain n’a pas encore été complètement remplacé…

Ryanair 17:35 Lisbonne… c’est notre vol !!! Il ne manquait plus que ça, espérons qu’il ne deviendra pas comme celui de Nantes !!!

Nous partons avec une heure et demi de retard.

Métro, hôtel… nous voulions aller au restaurant mais vu l’heure d’arrivée (21h30) nous nous contentons de boire un petit peu de

vinho verde au bar de l’hôtel en mangeant un arroz de polvo.

Et ce sera tout pour aujourd’hui.

Vendredi 30 septembre 2022

Bordighera – Vintimille – 5,5 km – Vintimille – Nice – Marseille – Nimes – Vestric – 1054,5 km

Cette fois-ci c’est pour de vrai on rentre.

Quelques jolies villas aperçues depuis notre hôtel.

Nous allons en vélo prendre le train à Vintimille.

J’essaye de prendre des photos à travers la vitre. C’est mieux que dans le train italien, au moins les vitres sont transparentes.

À l’arrêt de Menton on contrôle, nos papiers d’identité.

Et mon gentil portable m’envoie un message !!!

Toutes ces photos ont été prises entre Vintimille et Nice. Mon portable me donne le lieu où je prends la photo, mais comme je prends des paysages dans le lointain je ne suis pas sure de la localisation.

Presque une heure d’arrêt à Nice. Yves garde les vélos sur le quai où nous a laissé notre train… avec un peu de chance nous n’aurons peut-être pas à changer de quai. j’ai envie d’un café. Je descend, je sors, j’admire la gare. Je ne trouve pas ce que je veux et j’essaye d’accéder à nouveau aux quais. J’ai beau présenter mon QR Code au lecteur ma porte ne s’ouvre pas. J’en essaye un autre. Rien. Pas un employé en vu parmi la foule. Si, un poteau avec un bouton d’appel… nous recherchons votre correspondant, nous recherchons votre correspondant, j’entends ça pendant un certain temps… je vous écoute, je ne peux pas rentrer, montrez-moi votre billet… à un poteau ? Je lui montre mon portable… c’est bon je vous ai ouvert la porte 12… les merveilles de la technologie dans les 2 sens ! Tout va bien, j’ai pu rentrer et retrouver mon vélo. L’idée d’Yves était excellente, nous étions sur le bon quai d’embarquement pour le train pour Marseille.

Photos prises entre Nice et Marseille.

Super sympa. Deux compartiments où ils ont enlevé les sièges, dans lesquels nous ne sommes pas obligés d’accrocher les vélos par la roue… un calvaire avec mon vélo.

Tellement bien qu’il y en a un qui s’est étalé !!! Heureusement nous sommes les seuls.

Et les compartiments à côté nous sont réservés.

Aujourd’hui comme il y a peu de vélos nous avons des compagnons de compartiments autres que des cyclistes. Deux heures et demi de route c’est long, on a le temps d’engager des conversations bien agréables.

La voix douce qui fait les annonces dans notre train prise sur le fait.

Arrivée à Nîmes sans problème. Ascenseur pour descendre des quais. Nous avions demandé à Uber de venir nous chercher pour nous ramener à la maison… Yves ne pédale pas en habits de ville !!!

Il es beau mon chauffeur de chez Uber.

Il a dû pleuvoir pendant notre absence. L’herbe a bien poussé.

Deux ans après avoir rêvé de ce voyage, nous l’avons fait… une très belle surprise. Nous ne nous attendions pas à un si beau parcours, avec aucune difficulté.

Et voilà c’est fini, le blog s’arrête jusqu’à… pour l’instant nous n’avons rien de précis en tête.

Jeudi 29 septembre 2022

Florence – La Spezia – Gênes – Bordighera

Santa Maria Novella, le temps est incertain.

Un peu compliqué au départ pour trouver le wagon vélo, on va jusqu’au bout du train et comme on ne voit aucun logo vélo on monte dans le dernier wagon. Rien pour mettre les vélos. On coince tous les accès surtout qu’on y a un troisième cycliste. Heureusement le compartiment est vide. Une contrôleuse arrive et nous demande de descendre au prochain arrêt pour aller mettre nos vélos au bon endroit… juste à l’autre bout du train qui est immense !!! On remet les sacoches sur les vélos et c’est parti en quatrième vitesse. Nous ne pouvions pas voir le logo vélo, il était caché par la porte ouverte.

Changement de train à La Spezia. Nous avons une heure et demi d’attente nous allons manger dans la rue qui descend vers la ville. Nous connaissons, nous y étions au mois de mars.

Cinque Terre. Derrière la vitre les photos ne sont pas belles. Je vais arrêter là. On ne voit pas grand chose car il y a beaucoup de tunnels.

Cette fois-ci les changements de trains sont moins faciles qu’à l’aller. Escaliers pour accéder aux quais ou ascenseurs dans lequel mon vélo ne rentre pas. Il faut le tenir debout. Heureusement Yves est là.

Cette fois-ci on demande au contrôleur où est le compartiment vélo.

À Gênes, il n’y a que des escaliers. Yves porte mon vélo.

18 h nous arrivons à Bordighera. Passage souterrain pour sortir de la gare donc descente et remontée des vélos… et c’est fini pour aujourd’hui on verra demain comment ça se passe en France.

Bordighera, jolie ville avec de belles maisons.

Le jardin de notre hôtel

Le vent souffle fort et la mer est grosse.

Coucher de soleil depuis la ville. Il y a la voie de chemin de fer entre la ville et la plage !!!

Journée fatigante, je préfère pédaler plutôt que de passer la journée dans un train.

Il n’a pas plu, ou nous ne nous en sommes pas aperçus car nous étions souvent dans des tunnels mais le temps a changé, nous avons trouvé du vent à Bordighera.