Vicence /Vicenza – Padoue/Padova – 46 km – 649 km
Le soleil est là. Nous allons continuer la visite de la ville car nous voulions voir…

Le Teatro Olimpico, dessiné et réalisé en 1580 par Palladio. Considéré comme le premier théâtre couvert.


Les décors en perspective de Vincenzo Scamozzi est le seul qui soit parvenu en parfait état jusqu’à nous.

Nous avons le plaisir d’assister à un son et lumière


Palazzo Chiericati.




Dans le hall de l’hôtel où nous avions garé nos vélo dans un garage. Ce n’était pas notre hôtel.
Ma roue avant a tenu le coup. Elle est toujours gonflée, nous pouvons partir.

Villa Rotonda dessinée par Palladio.

Aujourd’hui c’est piste cyclable toute la journée.


Du soja dans presque tous les champs.







Il y a un guinguette. Arrêt repas.
Nous repartons. Padoue se rapproche. Panneau : Padoue 3 km. Et paf ! Mon pneu est a plat. Et Zut, il y avait un réparateur de vélo là où nous avons mangé. On va essayer la bombe que nous avons achetée hier. Une catastrophe, dommage je n’ai pas eu la présence d’esprit de faire une photo. Ça fait de la mousse qui ne rentre pas dans la chambre à air et qui se reprend par terre. 3 essais on abandonne. Yves démonte la roue, elle est tellement vieille que nous n’arrivons pas à démonter le pneu, seule solution aller jusqu’au Bike stop. Yves part. La roue est réparée, la chambre à air est changée. Il faut la remonter, impossible de retrouver l’outil multifonctions qui nous a permis de démonter la roue !!! Heureusement il y a un bar pas loin et un gentil monsieur a ça dans ses outils. Nous avons de la chance de toujours trouver des gens serviables autour de nous…

Padoue. Pratto della Valle.

Abbazia di Santa Juistina.
D’autres photos demain car nous n’avons pas visité la ville. Départ tardif de Vicenza et crevaison.
La journée fut belle et ensoleillée sur des pistes cyclables dans la campagne.
Verone – Vicence – 78 km – 603 km
Au réveil la rue était mouillée, il ne pleut pas, tout va bien… et non, lorsque nous partons ça tombe dru !!! Et il pleuvra fort pendant plus d’une heure… si ca continue comme ça encore longtemps, au prochain village, je prends le train.

Petit retour en arrière, je retourne dans l’église où hier, j’ai écouté les explications d’une dame, pour faire une photo. Elle m’avait montré le sol et son interprétation sur les couleurs m’avaient plue. Les pavés clairs forment un labyrinthe, avec des détours comme dans la vie et arrivent à l’hôtel, le paradis. Les pavés noirs ne mènent à rien, sont des impasses, c’est l’enfer.

À l’odeur, ça doit être une porcherie. Ça fait un moment qu’on en voit. On peut enfin faire des photos, la pluie s’est arrêtée.



Depuis que nous avons démarré nous voyons des montagnes enneigées. Le portable est enfermé dans mon sac à cause de la pluie. Pas question de le sortir, il n’aime pas la pluie. On les aperçoit encore, au fond, le petit truc blanc en hauteur !!!

Soave.

Il y a la fête du vin.




Monteforte d’Alpone. C’était trop beau, la pluie s’était arrêtée, on commençait à être sec… j’ai percé !!! Yves a une bombe anti crevaison, ça fonctionne mais lorsque qu’on veut gonfler le pneu, l’embout de sa pompe n’est pas compatible avec la valve de ma chambre à air. Vite un poste à essence, il n’est pas loin, mais fermé !!! Je sonne à une porte, non pas de pompe, peut-être un peu plus loin chez Charlie.

Non, il n’a rien, mais il va sonner chez sa voisine qui lui donne les clés de son garage. Il revient avec une pompe à pied, zut ! Toujours pas le bon embout. Il téléphone, un monsieur arrive, il nous emmène dans son garage où il a un compresseur, je suis sauvée. Nous mangeons un délicieux hamburger chez Charlie.

Monteforte d’Apone le soleil est là.


Nous ne sommes pas encore arrivés !!! Mon pneu est toujours gonflé, tout va bien.

Une des rares pistes cyclables que nous avons eues aujourd’hui. Beaucoup de routes sans bas-côté avec beaucoup de circulation, quelques chemins et quelques petites routes.


Le Duomo de Brendola abandonné.


Ça vient de monter, monter, monter, j’attends Yves au bord de la route.


Sanctuaire Santa Maria di Monte Berico.

Vue sur Vicence depuis le belvédère au niveau du sanctuaire. Chouette nous allons descendre !!! Faut pas rêver !!! Ça descend, ca monte, ça descend et ça remonte !!!
Nous allons chez un marchand de vélos avant d’aller à l’hôtel. J’ai une pompe adaptée à mon vélo et nous avons une bombe anti crevaison qui fonctionne chez Yves et moi, alors que celle de ce matin ne fonctionnait que sur mon vélo !!! Mon coéquipier avait un beau sac de matériel, pas très efficace !!!

Vicenza en italien, est connue comme la ville du Palladio.
Piazza dei Signori. Toutes les photos qui suivent sont prises sur cette place.





Et c’est fini pour la Piazza dei Signori.



Ce sera tout pour ce soir. Demain l’étape est courte, s’il ne pleut pas nous continuerons à visiter la ville qui est belle.
Pour la première fois, ce soir j’ai mis ma doudoune. Certainement la fatigue de la journée mais aussi le temps qui s’est rafraîchi.

Vérone

San Giorgio in Braida.

Caroto, je ne connaissais pas ce peintre. C’est le portrait de son fils.

Je rentre dans l’église pour avoir des explications sur Caroto. Oui il a peint dans cette église. Pas le tableau qui est derrière l’hôtel. Je tombe sur une dame qui m’explique, en italien, toute l’histoire de l’église. Très intéressant. Je suis obligée d’abréger car Yves est sorti et j’ai peur qu’il s’impatiente.

Caroto a peint ce tableau.

Celui-là aussi.

Ponte Pietra.

Le symbole de Tocati, le festival du jeu.

Devant le théâtre antique. Il y avait une représentation hier soir !!! Je n’avais regardé que pour les arènes où il n’y avait rien.

Nous montons par les escaliers au Castel San Pietro.

Pas par le funiculaire.

Vue sur la ville. Le Ponte Pietra et le Duomo.

Le château vu du bord de l’eau. En haut, il était impossible à prendre car il n’y avait pas de recul.


Le Duomo. La cathédrale.

La lumière est tellement belle que j’ai mis la même photo qu’hier.



Nous visitons la cathédrale, aujourd’hui il n’y a pas d’enterrement mais nous avons le plaisir d’écouter les organistes qui répètent.



Dans le Baptistère, fonts baptismaux octogonaux, créés à partir d’un seul bloc de marbre, attribués au sculpteur Brioloto. Bricodépot comme dit Yves.








Cortile del Tribunale.

Piazza dei Signori.


Tombeau des Scaligeri.



Une boulangerie avec de magnifiques pains.

Giardino Giusti.











Appartement habité de 1924 à la fin de la guerre, par la famille Giusti.


Il fait chaud. À 20 h il faisait encore 25 degrés.



Porta Borsari. Verso.

Recto.



Il doit être là depuis longtemps.

Une démonstration de jeu ancien par des Croates. Le bâton est flexible, ils le tapent plusieurs fois par terre et le ressort dû à la flexibilité le fait partir au loin lorsqu’ils le lâchent.

Le bâton est retombé plus loin sur le tapis.


Ils nous ont fait aussi une démonstration de claquements avec des fouets.



Un peu plus loin, préparation d’un jeu avec des quilles qui aura lieu demain. Demain il y aura tous les jeux mais nous ne serons pas là.

Bergers des Canaries. Le saut du berger. Ils se servent de ces longs bâtons pour descendre en sautant.




Il y a aussi des femmes.

Répétition d’un concert.


Et ce sera tout pour aujourd’hui. Une très belle et chaude journée. Une ville magnifique.
Lazise – Verone – 41 km – 525 km
Nous n’avons pas voulu prendre la route qui passait devant l’hôtel pour aller au bout du lac, trop de véhicules.

Je crois que nous ne verrons peut-être plus des pistes cyclables comme celles que nous avons eues depuis notre départ. Ceci est un chemin de traverse que nous avons pris ce matin, je n’ai photographié que la fin, à un moment c’était boueux et plein de ronces, j’ai poussé mon vélo….

Oh la menteuse ! Petite piste, soit disant panoramique, oui on voyait la campagne mais pas le lac et elle n’a pas duré longtemps.
Q

Ouf, nous retrouvons le lac.

Je déchante vite, il y a beaucoup de circulation, de vélos, de piétons. Nous n’irons pas jusqu’à Sirmione au bord du lac, ce n’est pas agréable de pédaler, on slalome entre les piétons et le reste.

Fort San Marco.


Le Mincio, émissaire du lac de Garde. Il n’est long que de 73 km et se jette dans le Pô.
À ce propos, l’Inn et l’Isar se jettent dans le Danube et l’Adige que nous allons retrouver à Vérone se jette dans la Mer Adriatique.






Des myrtilles.


La piste est bordée d’Alteas jusqu’au village

Ça monte, ça descend sur des petites routes et nous arrivons à la ville jumelle de Nîmes. Hâte de voir les arènes !

Le Duomo, cathédrale Santa Maria Matricolare, nous ne sommes pas rentrés, il y avait un enterrement, certainement quelqu’un d’important, police devant la porte et messe diffusée à l’extérieur.


La Piazza d’elle Erbe.



Le balcon de Juliette, la foule en bas, difficile de le photographier vide, les femmes se succédaient pour se faire photographier.



Dommage, nous ne sommes pas dans la période des concerts lyriques.

Là, c’est ma gourmandise qui parle, la gelateria la Romana, la meilleure de Verone !!!

Castelvecchio.

Cadenas engrillagés.

Ponte Scaligero.

Sur le pont.






Il y a un festival de jeux anciens.

Nous faisons une pause à la cuisine du festival, au bord de l’Adige.





Toujours dans le cadre du festival. Des groupes de différents pays vont se produire.
Un groupe était en train de répéter, j’ai fait une vidéo, apparemment je peux mettre des vidéos sur WordPress mais je ne trouve pas comment faire. Tant pis !

Panneaux électoraux.


Pause rafraîchissante dans le salon de l’hôtel. Il fait très chaud.
La journée a été bien remplie, je m’endors sans avoir fini d’écrire ma journée !!!
Trente – Riva del Garda – Lazise – 54,5 km – 484 km
J’ai oublié de dire que Trente était la fin de l’étape suivante donc nous avons fait 2 étapes en une… un jour gagné !
Mes 100 km du côté de Bordeaux, c’était il y a bien longtemps et je n’avais pas de vélo à assistance électrique. Le lendemain nous sommes allés marcher, pas question de remonter tout de suite sur mon vélo. D’ailleurs j’ai une petite anecdote à raconter. Nous avions déjà fait 60 km lorsque nous avons fait demi tour (je vis avec un fada) pour raccourcir nous avons pris la N113 plutôt que les petites routes prises à l’aller. « Manuuuuu tu peux venir me chercher, je suis sur la 113, je n’en peux plus ? ». Il est sympa mon gendre, il m’a répondu ouiii, mais il n’est pas venu…

Au petit déjeuner… j’ai préféré jambon cru.

Le Duomo de Trente.

Très sobre à l’intérieur.

Ce n’est pas le grand soleil d’hier mais il fait bon.

Petit pont pour nous sur la piste cyclable.



Nous nous sommes arrêtés car Yves était intrigué par ces entonnoirs rouges qu’il avait aperçu dans des voitures. En fait ce sont des récipients plats avec une queue au dessous pour le tenir. Ils coupent les grappes qui tombent dedans et les versent ensuite dans un seau. Et bien sûr ils nous ont offert du raisin. Délicieux.

C’était pour photographier un village fortifié sur la colline mais ce n’est vraiment pas net.



Rovereto. Arrêt café.

??? L’Adige


Et tapie dans le fond il y a la merveille vers laquelle nous roulons.

Le Lac de Garde.


Riva del Garda.

Nous allons prendre un bateau pour aller au sud du lac.

En attendant nous sommes sur le quai, le bateau rapide de 14 h ne prenait pas les vélos. Nous prendrons celui de 15 h pour arriver à 19 h à Lazise.


Et c’est parti.

Nous ne sommes pas seuls.

Kitesurf sur le lac. Ce n’est pas moi !!!

Premier arrêt à Limone sul Garda.


Malcesine. Deuxième arrêt. On zigzague sur le lac.


Castelletto.

Gargnano.



Il pleut, tout le monde a déserté le pont, derrière le plexiglass tout va bien.


Sur les côtés on profite du paysage. La pluie vient de s’arrêter, nous avons bien fait de ne pas descendre, à l’intérieur il faut mettre le masque FFP2. Nous arrivons à Maderno.




Gardone.



Salo.


Le soleil est de retour.

Garda.


Bardolino, dernier arrêt avant notre arrivée à Lazise.

Lazise, nous arrivons avec demi-heure de retard. Il fait nuit.

Un monde fou. Nous filons vite à l’hôtel qui est à 1 km. Pas le temps de faire des photos

Petit bonus, le magnifique coucher de soleil depuis le bateau.

Cette agréable promenade en bateau nous a fait économiser 50 km de pédalage. Et cela nous a permis de voir presque tous les villages qui bordent le lac.
Le lac est à 65 m d’altitude. Descente sur piste cyclable depuis Trente mais petit col à passer avant de découvrir le lac, avec une belle montée que j’ai mal négociée et où j’ai dû pousser mon vélo, mais je n’étais pas la seule…
Merano -Bolzano – Ora – Trente – 100 km – 429,5 km
La dernière fois que j’ai fait 100 km en vélo c’était dans le vignoble de Sauternes. Arrivée à l’hôtel je me suis couchée et lorsque Yves a voulu sortir pour aller manger je ne me suis pas levée. Ce soir je suis sur une place à Trente en train de boire l’apéritif. J’ai dû rajeunir !!!

Merano. Castello Principesco. J’ai pris la décoration qui est devant pour un échafaudage. Je devais être fatiguée.


C’est apparemment l’histoire de cette fontaine.

Ça faisait longtemps que je n’avais pas vu des cadenas. La mode doit se perdre et je crois qu’à certains endroits c’est interdit à cause du poids.

Qui veut aller à l’étage supérieur ?

L’Adige.

Encore et toujours des vergers de pommiers.



Ça faisait un moment qu’on pédalait entre une rivière assez claire et une rivière boueuse. Ici c’est le confluent ou la confluence de ces deux rivières. La boueuse l’Isarco et la plus claire l’Adige.


Ora. Un grossiste en vins.
Ora était la fin de notre parcours d’aujourd’hui. Il est midi et demi nous avons fait 50 km. Il n’y a rien à voir dans ce village. Nous déjeunons et nous décidons de continuer notre route. Nous n’avions pas retenu d’hôtel pour ce soir.


Nous sommes sur la route des vins. Les vignes sont sur les coteaux. Toujours des pommiers près de nous.



La piste cyclable est sur une digue.


Les vignes sont soutenues en pergola.

Nous avons notre passage sur le pont.


Et voilà Trente. Quelle belle ville !!!



Un compteur de vélo près de notre hôtel. Lorsque nous sommes revenus de manger, il était à 5120 pour la journée.






Toutes les maisons étaient belles.
Heureusement que nous ne sommes pas restés à Ora. On se serait couchés comme les poules. Ici nous nous sommes promenés avons bu l’apéritif et mangé en ayant beaucoup de choix.
Belle journée. Pas fatigante malgré la distance nous sommes passés de 325 m d’altitude à 194 et nous n’avons roulé que sur des pistes cyclables.
Mals/Malles Venosta – Meran/Merano – 64 km – 329,5 km

6 h57, la journée promet d’être belle.

Mals en allemand, Malles Venosta en Italien. Ici on parle plus allemand qu’italien.
Le casque a été acheté et les freins vérifiés, ils étaient en bon état. On peut démarrer.

La montagne enneigée est toujours là.

Glurns/Glorenza. Embouteillage. On doit passer par la porte pour rentrer dans le village. Lorsque nous sommes arrivés, immense embouteillage, un bus essayait de sortir par cette porte étroite.

Et pour couronner le tout, ils sont en train de tourner un film sur la place du village, on nous arrête dans la rue et on nous demande de rester silencieux. Pas question de visiter la ville qui est soit-disant une des plus belles villes du sud Tyrol.

La place que nous apercevions depuis l’endroit où nous étions arrêtés.

Les montagnes enneigées sont encore face à nous mais plus pour très longtemps.

Aujourd’hui, 61 km de pistes cyclables. Le rêve.

Vente de pommes et de jus. Les prix sont marqués 0,50 € le verre de jus et pareil pour les pommes. La caisse est au milieu.

C’est normal, nous pédalons au milieu des vergers de pommes.

Arrêt pour manger un apfelstrudel, les oiseaux n’en perdent pas une miette.

L’Adige que nous allons suivre toute la journée.

Le château de Castelbello.

Je sais bien que les gens du midi exagèrent mais aujourd’hui nous n’avons pas vu des dizaines de vélos, non, nous avons vu des centaines de vélos. C’est lundi, étonnant, ça circulait en couple, en groupe, sans arrêt et nous n’avons pas vu ceux qui allaient dans le même sens que nous.


À la queue leu leu.


Arrêt sur un belvédère au dessus de Merano.

Pour pouvoir rêver face à la vue.



Merano. Belle ville thermale très animée.


Eglise St Nicolas.

Astucieux. La grue ne gêne pas pour le passage.



Le théâtre.

Magnifique journée. Le soleil est de retour. Pistes cyclables tout le long. Nous sommes passés de 1000 m d’altitude à 300 m… je n’aurais pas aimé être dans l’autre sens surtout à la fin, nous avons croisé des gens qui poussaient leur vélo.
Depuis le début de notre périple nous croisons majoritairement des vélos à assistance électrique. C’est normal, vu les dénivelés ça permet à tout le monde de se promener et ils ne s’en privent pas.
Imst – Landeck – 25 km – Postbus – Nauders – Malles Venosta – 26 km – 265,5 km
Hier j’ai dit des bêtises. Nous avons changé de vallée, nous ne pouvions plus longer l’Isar, nous étions au bord de l’Inn. J’aurais dû réagir car toute la journée j’ai vu la direction Innsbruck dans l’autre sens.

Dans la cour de l’hôtel, pour nettoyer les vélos. Tout est fait pour le vélo, dans les hôtels il y a toujours une pièce réservée pour les vélos et les skis…

Au bord de l’Inn.

Compteur de vélos. Yves est passé 4 fois. Si tout le monde fait pareil le chiffre est faux !!!


Clinique du sport avec aire d’atterrissage d’hélicoptère.


Petit panneau vert sur la droite, pour les vélos, nous ne risquons pas de nous perdre.




Ça vient de monter !!!




Là, ça pose problème. Il n’y a pas d’autre route. Heureusement des gens arrivent à pied, on peut passer le dimanche.


Elle n’est pas belle la vie ? Après avoir cherché du mauvais côté l’arrêt de bus, direction indiquée par des chauffeurs de bus !!! Nous allons pouvoir passer de l’autre côté des montagnes et arriver au Reschenpass.


Landeck. À partir de là les 3 photos sont prises derrière les vitres du bus.



Le bus nous a posé devant le bâtiment des remontées mécaniques. Nous avons pu aller aux toilettes et Yves a pu poser son casque sur un banc et le laisser…

J’ai découvert, il y a deux jours qu’Iphigenie pouvait donner l’altitude. Mieux vaut tard que jamais. Capture d’écran lorsque nous sommes descendus du bus. Nous sommes partis de Landeck à 800 m d’altitude, c’est appréciable d’avoir pris le bus, 600 m de dénivelé en moins dans nos mollets !!!

Ça y est nous sommes en Italie.

Le soleil est de retour, le paysage est magnifique. Que du bonheur.

Nous sommes arrivés au point le plus haut. À Partir de là, c’est plat jusqu’au bout du lac, et ensuite ça descend fortement.

Bal au bord du lac.


Nous sommes au Tyrol.


Il y a même un cochon dans une cage à côté des musiciens.

Et pendant ce temps-là, nos vélos se reposent en admirant le lac.

Lago di Résia. Magnifique.

Au fond, des montagnes enneigées. Les premières que nous apercevons.


Aujourd’hui nous n’avons roulé que sur des pistes cyclables. Le rêve !!!

Traversée de San Valentino alla Muta.

Un autre lac. Lago de la Muta. Le chemin est toujours plat.


Notre piste cyclable.

Et ensuite, ça descend, descend, descend, on a même de temps en temps des afficheurs de vitesse qui sont rouges de colère lorsqu’on dépasse les 30 km/h.

À nouveau une fête de village. Et oui, c’est dimanche.


Castello del principe et Abbazia di Monte Maria.

Capture d’écran non modifiée. C’est amusant on voit la réponse d’Anne à ma question : pourquoi Yves à sa casquette rouge sur sa tête ?
Nous sommes passés de 1500 m à 1000 m d’altitude en 6 km… demain je fais vérifier mes freins. Ils grincent trop. Nous avons de la chance, il y a un marchand de vélo juste à côté de l’hôtel. Yves pourra s’acheter un casque.


Un magnifique ciel pour clôturer une superbe journée qui a commencé sous la pluie.
Leutasch – Imst – 50 km – 214,5 km
Oui Tatie Arlette nous sommes en Autriche depuis hier. Plus exactement au Tyrol. Nous avons passé la frontière dans la côte où j’ai cru rendre l’âme.

J’ai oublié de mettre une photo des costumes traditionnels que nous avons vus dans de nombreuses vitrines à Munich et Garmisch.

Nous démarrons sous la pluie, mais pas de la pluie qui mouille comme hier.


Notre première côte.

Vaches en transhumance. Un camion de pompiers précède le troupeau pour arrêter la circulation.

Telfs. Descente interminable de 8 km depuis que nous avons doublé le troupeau de vaches. Nous aurions été incapables de monter de ce côté.
J’ai pris la photo pour le petit panneau qui rappelle qu’il faut mettre le clignotant dans les ronds-points.

Distributeur de chambres à air au début de la piste cyclable.

Fleurs de topinambours. Il y en a partout au bord des champs de maïs.


Monastère de Stams, cistercien baroque.





Nous venons de passer le long de vergers de pommes et là une aire de jeu dédiée à la pomme.

Tout pour le vélo devant l’aire de jeu.

Chargeurs de batteries de V.A.E.

Et là, de quoi réparer.


L’Inn en contrebas. Nouvelle côte.


L’Inn, nous le longeons jusqu’à Imst.


Prêts pour l’hiver.

Le repos du cycliste au bord de la piste.

Et pendant ce temps-là, je vais au champignons dans la forêt qui est derrière… il y en plein d’énormes pas comestibles, je pense. Celui-là, il était tout petit, tout joli.



La piste cyclable, la voie ferrée, l’Inn.


Résultat, Yves pousse son vélo et moi j’ai fait pareil, surprise par ce mur, je n’avais pas anticipé pour mes vitesses et j’ai été incapable de monter.


Et encore du rafting.

Imst. Il n’y a vraiment rien à voir.

Journée agréable mais fatigante pour Yves car il y a eu pas mal de dénivelé.
La pluie ne nous a pas gênés, elle tombait par intermittence mais pas fort.

Demain nous franchissons les montagnes…
Garmisch Partenkirchen – Leutasch – 44 km – 164,5 km
Je vais commencer par une vérité vraie que nous avons expérimentée aujourd’hui : il vaut mieux pédaler lorsqu’il fait beau que sous la pluie !!!


Ce matin au réveil, vue de notre fenêtre, c’est raté pour le Zugspitze, il y a trop de nuages.

Une autre rue de Garmisch bordée de maisons décorées.



Habit traditionnel bavarois. On en voit de temps en temps sur les serveurs dans les restaurants.



Piste cyclable moins agréable que les autres jours car il y a beaucoup de circulation sur la route et c’est bruyant.

Faudrait pas qu’il y ait des champignons, allons voir…






Nous commençons à avoir froid. Arrêt boisson chaude et ajout d’habits pour moi.
Qui boit un chocolat chaud et qui boit un café ?

C’est Yves le gourmand !!! Non, il a besoin de force pour pouvoir pédaler sans assistance !!!


On retrouve l’Isar.

Nous venons de passer la frontière autrichienne, j’ai cru que ma dernière heure était arrivée… jusqu’à présent je pensais qu’à certains moments c’était vallonné, mais là ça montait, montait, montait, pas question de s’arrêter, je suis incapable de démarrer en côte… donc je pédalais, pédalais, pédalais et je n’arrivais pas à reprendre mon souffle… j’ai doublé deux cyclistes, ils ont dû prendre peur en m’entendant souffler.

Passerelle dans les gorges de la rivière Leutasch. Je pense qu’elle n’est que pour les randonneurs à pied.



Nous sommes arrivés. Quel bonheur ! Il a plu toute la journée, de la pluie qui mouille. Je crois qu’hier lorsque j’ai parlé de pluie je ne savais pas ce que c’était !!!
Tatie Arlette, ton anniversaire a été vraiment arrosé, cela ne nous était jamais arrivé le 9 septembre lorsque nous sommes sur notre vélo !!!
Ce matin nous avons été inspirés, nous avons retenu notre hébergement avant de partir, chose que nous n’avions pas encore faite. Les 2 derniers jours nous avons trouvé pour dormir lorsque nous sommes arrivés sur place. C’est déjà fait pour demain au cas où la pluie soit toujours là.

Je publie le texte écrit sur le site randovélo pour la journée d’aujourd’hui, à part le soleil qui n’est pas obligé d’être au rendez-vous, je me demande si nous sommes passés là où ils font passer leurs clients ? C’est nous qui traçons notre parcours… il faut penser aussi qu’ils sont obligés d’appâter les clients et que les superlatifs sont là pour ça.

Deux heures après notre arrivée le ciel se dégage.
À demain !

C’est peut-être un des sommets que nous n’avons pas vu aujourd’hui.


Il fait beau !!!