Mardi 27 mars 2018
San Bartholomé de Pinares – Ávila – 27 kmAu revoir San Bartolomé et ses rochers.
Si j’avais de telles jambes…
Ça va être la journée des vaches qui nous regardent passer. Je ne suis toujours pas rassurée !!!
El Herradón au bout de 5 km. Nous cherchons vainement un bar ouvert. Nous nous contenterons d’acheter des biscuits dans une petite épicerie.
À partir de là ça va monter.
Chemin ruisseau.
Nous marchons sur un sol gorgé d’eau. En période de pluie, il doit être impraticable. Il doit falloir passer par la route.
Là, le chemin est bon mais à certains endroits je me demande comment ils ont fait pour passer.
– Tu vois Aline, il te faut passer là pour ne pas te mouiller les pieds !!!
Pas de problème j’ai bien traversé l’Arroyo. Et bé là, il a fallu le retraverser et j’ai mis les pieds dedans !!!
Je pensais que nous ne montions qu’à 1200 m.
On se croirait sur l’Aubrac.
Honnêtement vu l’étroitesse du cours d’eau, je ne vois pas comment on peut faire du canoë !!! Ou alors nous sommes en basses eaux.
Tornadizos de Ávila. Arrêt dans un bar pour manger.
Ávila au loin.
L’entrée au milieu des immeubles est très longue.
Toujours pas de remparts. C’est tout de même pas ça ???
Ouf !!! Non, c’est ça.
Ici aussi il y a des cigognes.
En allant à notre hôtel nous tombons sur une procession.
Petite promenade au hasard dans la ville. Demain nous la visiterons en suivant les conseils d’Avila en un jour.
Nous retrouvons la procession 3 h plus tard. C’est normal, il faut voir à quelle vitesse ils avancent. Ils s’arrêtent régulièrement sous les ordres de quelqu’un qui tape sur un objet métallique.
De temps en temps ils changent de porteurs. Des jeunes bien vigoureux.
Ma première espagnole avec une mantille.
21 h, nous allons à la Cathédrale pour assister au départ d’une autre procession. Il y en aura une autre à minuit autre part mais nous serons couchés.
Maintenant nous suivions les derniers pour pouvoir sortir des remparts et aller dormir.
Encore une belle journée bien remplie. Ma montre affiche 33 km.